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📣 Journée Jeunes TALents post PhD - le 05 mai en ligne
Coorganisée par l'ATALA et le GDR TAL
Le 5 mai 2025 (en ligne)
L'ATALA (Association pour le Traitement Automatique des Langues) et le GDR TAL organisent une *journée "Jeunes TALents post PhD"* dédiée à promouvoir les échanges entre les doctorant(e)s en fin de thèse ou jeunes docteur(e)s et les laboratoires ou entreprises en TAL.
La journée débutera avec un webinaire sur les métiers dans la recherche après une thèse en TAL, selon les expériences de jeunes diplômés. Le webinaire sera suivi de présentations de thèses et d'offres de contrats de recherches après la thèse.
L'événement aura lieu pendant la matinée du 5 mai 2025 et se fera sous la forme de rencontres en ligne.
Si vous voulez en savoir plus sur les métiers dans la recherche après une thèse en TAL, discuter avec les chercheur(e)s et les professionnel(le)s, ou avec les futurs docteur(e)s du domaine, rejoignez-nous au lien suivant :
https://univ-amu-fr.zoom.us/j/92272257591?pwd=Q43jnaZT890RtdRvnftbryRplnxe20.1
Plus d'informations ici : https://www.atala.org/content/jeunestalents-post-phd
Revue TAL - derniers numéros parus
L’ATALA est l’association savante qui se consacre depuis 1959 au développement du Traitement Automatique des Langues (TAL). À l’origine, cette association était principalement tournée vers la traduction automatique, avec quelques réunions par an. Au fil des ans, cette association loi 1901 s’est amplement structurée :
- elle édite la revue TAL qui publie trois numéros par an dûment sélectionnés par un comité de lecture international,
- elle organise la conférence annuelle TALN ainsi que sa session étudiante RÉCITAL,
- elle maintient plusieurs annuaires du TAL (entreprises, équipes, formations) en France,
- elle est présente sur internet par ce site web et la liste LN, afin de fédérer les acteurs francophone du TAL.
- elle soutient l’organisation de journées d’étude.
Si la traduction automatique reste une application majeure du TAL, bien d’autres applications ont vu le jour depuis 50 ans, pour former les "industries des langues". Celles-ci sont en plein essor et s’intègrent peu à peu dans notre quotidien. Elles s’appuient sur des recherches jetant une passerelle entre la linguistique et l’informatique sans oublier la statistique, fort utile pour extraire des données du gigantesque réservoir de textes disponibles sur le web.